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« Vouloir comprendre tout cela est bien légitime pourtant ; et nous avons la capacité de le faire, de raisonner le monde et chercher à comprendre celui qui en est la source. Mais on ne peut enfermer Dieu dans une logique irréfutable. C'est courir à l'échec que de tenter de le faire. Il ne m'appartient pas d'essayer de répondre à ces questions. Le faire, c'est déjà tenter d'influencer en me mettant en avant. Je ne peux qu'ouvrir une ou deux portes. Je ne peux que dresser un tableau. Libre à chacun de se saisir pour lui-même de ce qu'il croit vrai. » À Frédéric, ce fils qu'il n'a pas vu naître, Pierrik continue de se confier. Dans ce monologue bienveillant avec ce dernier, c'est également à nous qu'il s'adresse. En ouvrant son coeur comme son âme, le flot de ses interrogations pose une question fondamentale : sommes-nous vraiment libres ? Lucide, l'auteur ne s'enferme pas dans une logique manichéenne, mais nous invite au contraire à considérer le bien comme le mal, la lumière comme la ténèbre. Dans un souci d'équité, il n'impose pas de conclusions : sincère, il nous laisse prendre nos propres décisions, et nous invite à nous abandonner entièrement auprès de Dieu. Après Divine famille, Ceux de Béthanie et Le grand malentendu, tous parus aux Éditions du Panthéon, ce dernier ouvrage clôt un cycle pour Pierrik, qui poursuit son travail littéraire.
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