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Connu pour sa passion du Jazz, Haruki Murakami se dévoile comme un fin mélomane. Ses conversations avec Seiji Ozawa traitent d'une musique passionnante, enrichissante et difficile. Du travail d'orchestre jusqu'à l'interprétation musical, de nombreux sujets sont abordés.
On connaissait la passion d'Haruki Murakami pour le jazz, mais il en est une autre qui, dans sa vie, a pris une place de choix : la passion du classique. Comme l'a dit un jour Duke Ellington, Il n'y a que deux sortes de musique : la bonne et le reste , rappelle Murakami. En ce sens, le jazz et la musique classique sont fondamentalement pareils. La joie pure que l'on ressent en écoutant de la bonne musique transcende la question du genre . Mais à la joie d'écouter s'ajoute aussi celle de connaître : connaître les disques, les concerts, comparer les enregistrements... Tous les plaisirs de l'amateur éclairé. Pendant deux ans (entre 2010 et 2011), Murakami et Ozawa ont conversé de Brahms, Beethoven, Bernstein, Gould, Bartók, Mahler... Six cessions, le plus souvent captées à proximité d'une platine, au milieu de la collection de disques de l'écrivain, proposant au chef d'orchestre des moments d'écoute pour revivre, se souvenir et raconter.
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