A l'occasion de la sortie de « Darius le Grand mérite mieux », Adib Khorram évoque l'adolescence, la différence et la culture iranienne
Véritable succès aux États-Unis, multiprimé et recommandé par Becky Albertalli, Darius le Grand ne va pas bien, d'Adib Khorram, est un roman plein de sensibilité autour de la dépression d'un adolescent et de sa première rencontre avec sa famille maternelle, en Iran.
Darius Kellner parle mieux le klingon que le farsi. Et comme si sa vie sociale proche du néant n'était pas assez compliquée à gérer, il jongle tant bien que mal entre sa propre dépression et les critiques incessantes de son père. Mais quand ses parents lui annoncent un voyage en Iran, son quotidien bascule... Là-bas, il apprend à connaître son grand-père souffrant, sa grand-mère aimante et le reste de sa famille maternelle. Mais surtout, il rencontre Sohrab, le garçon qui va bouleverser sa vie. Avec lui, il apprend que des meilleurs amis n'ont pas à parler pour se comprendre. Sohrab l'appelle Darioush - la version perse de son prénom - et pour la première fois, Darius se sent accepté et lui-même.
A l'occasion de la sortie de « Darius le Grand mérite mieux », Adib Khorram évoque l'adolescence, la différence et la culture iranienne
Un jeune américain issu de la culture iranienne qui apprend à vivre avec sa santé mentale, qui se sent en marge de son père américain et de sa famille qui habite en Iran. Une très belle écriture bien traduite, qui rend très bien en lecture à voix haute grâce au rythme créé par la langue.
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