"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le meilleur des mondes ! C'est ce que promirent tous les régimes totalitaires du XXe siècle.
Communisme et fascisme utilisèrent l'ensemble des moyens à leur disposition pour dépeindre le monde merveilleux qu'ils prétendaient bâtir. Les cartes postales - et cet ouvrage en est la preuve -, si répandues et si populaires, furent un outil formidable de propagande. Plus le sang coulait et plus le monde chantait. C'est ce qui ressort de ces images doucereuses et bienveillantes qui renvoyaient du peuple et au peuple le reflet d'une réalité maîtrisée et rassurante.
Mais sur ces cartes, qui aujourd'hui font froid dans le dos, il manquera toujours le témoignage de ces millions d'hommes et de femmes, réduits au silence par la terreur ambiante, pour dire leur souffrance et leur désespoir. La préface d'Andrew Roberts, historien britannique de renommée internationale, met en lumière la façon dont la propagande opère, utilisant les mêmes valeurs, les mêmes codes et magnifiant les mêmes sentiments, quelle que soit l'époque et quel que soit le régime.
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