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Catherine Breillat

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Avis sur cet auteur (1)

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    Couverture du livre « Une vraie jeune fille » de Catherine Breillat aux éditions Denoel

    Ophelie GAUDIN sur Une vraie jeune fille de Catherine Breillat

    La 4e de couverture donne envie. Mais il faut en rester à la 4e de couverture. Je veux bien de la libido exacerbée, mais le mélange gratuit scatologie, libido médiocre et crasse pour décrire l'adolescence chez les filles ne fonctionne pas.

    Le style est à pleurer et tant que l'autrice utilise...
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    La 4e de couverture donne envie. Mais il faut en rester à la 4e de couverture. Je veux bien de la libido exacerbée, mais le mélange gratuit scatologie, libido médiocre et crasse pour décrire l'adolescence chez les filles ne fonctionne pas.

    Le style est à pleurer et tant que l'autrice utilise "Alice" et non le "je" (dernier tiers du livre pour le "je") je me suis même demandée si elle n'écrivait pas sous substances. Pas de phrase, pas de ponctuation, pas de sens, des flashs par-ci par-là, une sorte de pensée morcelée profondément indigeste. Mention spéciale à la phrase qui démarre p.50 et qui finit p.52 : elle est sans queue ni tête en plus d'être illisible.

    Pour être plus précise, Alice est une jeune fille d'environ 17 ans, enfant unique d'une famille des Landes, issue de la paysannerie et ayant plus ou moins réussi dans l'exploitation des forêts de pins (une petite scierie dont ils sont les patrons) mais d'un degré de bêtises, de zéro culture et de "pauvreté mentale
    insoutenable" (p.90) qui lui fait honte. Elle, Alice, est obsédée par le sexe, le sien, celui des hommes, celui du chien qui la lèchera sous sa culotte (p. 33), et même de la sexualité de ses parents. Mais elle ne passe pas à l'acte. Tout est envie et fantasmes.

    Catherine Breillat tente de faire du Marguerite Duras en dépeignant la folle de la mère ("d'une folie qui semblait ménagère mais qui était totale', p. 36), de son besoin d'écrire sur ça (p. 68-69), de tout détruire (p.140) mais c'est tellement loin de Duras avec ce style imbuvable !

    Décevant en plus d'être vraiment scato.

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