A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Découvres d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com
---
Journal intime d'un Dieu omniscient est pour moi un OLNI (Objet Littéraire Non Identifié) réservé à des lecteurs aguerris. En effet, malgré mon bagage en imaginaire, j'ai peiné pendant environ 100 pages (soit plus d'un quart du livre) avant de trouver mes repères. Un peu long, non ?
Une fois ce cap franchi cependant, j'ai grandement apprécié ma lecture. J'ai rarement rencontré d'univers aussi original, ni aussi développé. Adrien Mangold a réalisé un travail d'orfèvre qui, certes, complexifie son histoire mais dont on ne peut nier la richesse.
Seul bémol : le dénouement que j'ai trouvé trop abrupt, mais il s'agit là d'un ressenti tout à fait personnel.
Un roman à double face, entre idéalisme et réalisme, dans lequel les apparences sont souvent trompeuses. Une narration double, avec des personnages partagés entre leur famille et leur volonté de sauver/changer la société dans laquelle ils vivent. Un univers dystopique fascinant. Une réflexion intéressante sur les intelligences artificielles et les créations de l’homme. Un bel objet-livre que j’ai beaucoup aimé lire !
En savoir plus sur : https://livraisonslitteraires.wordpress.com/2020/03/14/prototypes/
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...