"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En regagnant son domicile après son voyage, Bazoukoula Pascal trouve dans un tiroir de sa commode une enveloppe kaki qu'il n'y avait pas laissée avant son voyage de Mouyondzi. Elle contient une lettre anonyme et des graines des plantes. La lettre dit en une seule phrase : « Vous mourrez si vous ne quittez pas cette maison dans des conditions inattendues. » la maison dont ce jeune vit, est celle de son oncle. Commence alors un long monologue tissé de souvenirs, d'interrogations sur le vécu et les pratiques sociales, culturelles et religieuses en cours, de projections dans l'inconnu, de silences forcés et de découvertes troublantes. L'auteur nous révèle la complexité de l'âme humaine dans un style tantôt inégale tantôt injuste.
Vous mourrez si vous ne quittez pas cette maison... Est une plongée profonde dans les pensées d'un contaminé à mort s'il ne quitte pas la maison dont il vit, d'un homme au coeur d'or, dont le seul péché est de se chercher, d'avoir une l'idée de réussir dans sa vie. Vous mourrez si vous ne quittez pas cette maison... Qui se situe dans la lignée des quinze jours, met habilement en lumière les sortilèges et les méfaits qui handicapent la marche de la société universelle vers le progrès.
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