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Le quaternaire marque la fin de l'ancien monde, ce monde de l'écrit auquel nous étions attachés pour aller vers un autre monde, celui de la technique et de la science, détaché de la nature (dont nous sommes issus) rattaché à l'univers, milieu hostile, défavorable a priori auquel il devra s'adapter.
Si l'un était marqué par un égocentrisme dans lequel l'homme se considérait comme étant l'épicentre du Tout, dominateur, régnant sur la Nature, imaginant l'existence d'une puissance supérieure régissant le tout et de ce fait, créant une organisation du monde spécifique à partir d'une réalité subjective, créée à sa dimension et évoluant en suivant celle de son mode de penser : plongé dans un état d'immersion total, il a construit l'organisation du monde en fonction de ses désirs et s'est placé comme le plus grand prédateur que la terre est portée : nécessité, besoin ? Était-ce réellement son rôle ?
Nous nous trouvons dans la période de réchauffement climatique accélérée par l'activité humaine, mais également dans une phase de barbarie, de quête de sens abandonnant sur la route l'intelligible, le sensible, s'assimilant à Dieu. Ne serait-ce pas temps pour l'homme d'accepter n'être qu'un élément du tout et non le centre pour en comprendre l'existence pour trouver cette alliance fusionnelle ?
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