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«Soudain ma poitrine fut ébranlée, frappée comme de quelque chose qui la transperçait, et des larmes, de douces larmes jaillirent de mes yeux. Je me cachai le visage dans les mains, et frémissant tout entier comme un brin d'herbe, je m'abandonnai sans force à ma première prise de conscience, à la première révélation de mon coeur, au premier éveil encore incertain de mon être... Cet instant fut celui où s'acheva ma première enfance...».
Naissance du sentiment amoureux, exaltation et espoirs fous, frustrations et déceptions... tout concourt, sous la plume d'un Dostoïevski emprisonné, à livrer une ode à l'enfance, aux premiers émois et tout simplement à la vie, avec une vérité et une profondeur rarement égalées.
Traduction révisée par Simone Sentz-Michel.
Un petit héros où l'histoire d'un jeune garçon de 11 ans qui tombe amoureux d'une femme mariée. Quelle est belle, comme elle semble malheureuse, que le mari est odieux.
Cela se passe dans la bourgeoisie russe pendant l'été, il y a de nombreuses fêtes et, bien sûr, elle ne le remarque pas.
Quelle jolie nouvelle que cette naissance du sentiment amoureux, de la honte et des risques pris pour se faire remarquer.
Cela se lit comme un bonbon tant le talent de Dostoïevski à rendre ses histoires lumineuses embellissent ce petit récit.
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