Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
On a souvent décrit l'accès à la philosophie comme une naissance : certaines pensées nous donnent littéralement le jour. Donnons-nous un jour avec Jacques Derrida. Non pour commémorer sa mort, mais pour nous demander quelle sorte de jour sa pensée ou ses mots aigus, raffinés nous apportent aujourd'hui. De même qu'il y a plus d'une langue - une définition parmi d'autres de la déconstruction -, on compte plus d'un soleil, et la lumière que les philosophes ont imprudemment baptisée naturelle se prolonge jusqu'à nous par diverses techniques d'éclairage propices à aiguiser la vue. Mais les fenêtres percées et les coups de projecteur ne convergent pas forcément. Un jour de même ne dure pas, et découpe une clairière changeante selon les lieux et les moments. Obscur à beaucoup de gens, Derrida est pour d'autres la clarté même. Dans la clairière ouverte par son oeuvre, des penseurs, des artistes se rencontrent et confrontent leurs vues : quelles lueurs, quel élan ont-ils reçus de ce philosophe à tel moment de leur vie ?
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