"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Après Mer porteuse, Didier Burkhalter poursuit sa saga. On retrouve certains personnages d'envergure, dont Enor qui traverse allègrement tous les drames de ce vingtième siècle nous collant à la peau. D'autres apparaissent, comme la jeune Normande Marie Marguerite qui mène l'enquête sur les origines mystérieuses de sa famille, apparemment perdues dans de sombres tourbillons de l'histoire.
Livre riche qui interroge l'homme sur ses comportements parfois violents et absurdes. Pas d'issue sans le courage, laisse entendre le narrateur en filigrane. « Ce n'est pas parce que l'on perd un bras que l'on doit s'arrêter de nager », fait-il dire à l'un de ses principaux personnages. La forme romanesque permet à Didier Burkhalter de nous emmener avec passion vers des enjeux lourds de sens et d'interroger de manière aiguë notre condition humaine. Poids des mots, poids du sens, pour un livre d'une brûlante actualité.
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