"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Londres, 1890.
L'Étouffante a ravagé la capitale, laissant derrière elle des centaines de morts et autant d'orphelins.
Dans un monde apocalyptique déchiré entre les riches et les pauvres, Enora tente de contourner les règles qui lui sont imposées.
Lorsqu'elle trouve le corps inanimé d'un jeune homme, blessé par une machine d'un autre temps, sa vie bascule, l'histoire lui appartient enfin.
La mission est périlleuse : changer le passé pour réécrire l'avenir.
Prendra-t-elle la bonne décision ? Va-t-elle y survivre ?
Les voyages dans le temps... Impossible ?
Pas pour Gaëlle Perrin-Guillet qui s'essaye avec aisance au steampunk.
La plume fluide, le style inimitable, nous retrouvons cette auteure talentueuse qui s'amuse avec les époques. Plus qu'une invitation au voyage, un moment suspendu.
Lorsque j'ai vu il y a quelques mois la superbe couverture du dernier roman de Gaëlle Perrin-Guillet, qui a réveillé en moi l'enfant que je suis encore à l'intérieur, je savais que j'allais me le procurer très vite.
Angie m'a précédé, un grand merci à toi !
À ce jour, j'ai aimé tous les romans de Gaëlle que j'ai lus. Son petit coté “So british”, me plaît beaucoup et je trouve qu'il lui va parfaitement bien. Mais avec Temporis, en plus de l'histoire “steampunk”, qui m'a fait rêver, c'est le personnage d'Enora, qui m'a emporté tout le long du récit. Sa sensibilité, sa gentillesse, son âme pure…
Le steampunk a souvent été considéré comme un sous-genre du fantastique ou de la science-fiction. Pour moi au contraire, il a toujours été un genre à part entière, où l'esthétique de l'époque victorienne, a une réelle importance à tous les niveaux, et j'ose vous le dire : Si nous avions la possibilité de choisir l'époque où nous devions vivre, ce serait sans aucune hésitation que je m'envolerai pour cette période pré-moderne, qui avait déjà créé tout ce qui était nécessaire pour vivre une vie saine et heureuse…
Temporis m'a donc ramené dans ce monde que j'affectionne tant.
Enora a seize ans, elle a perdu ses parents lors de l'Étouffante quelques années auparavant. Le hasard des rencontres et de la vie va lui permettre de voyager dans le temps et de rencontrer la Reine Victoria qui a le même âge qu'elle. Qu'elle est donc la mission qu'on lui a assignée ? Pourquoi a-t-elle été choisie ?
Gaëlle a avec maestria composé un récit riche et touchant avec un superbe final qui l'a place dans le top du genre, et ce, avec malgré tout un “tout” petit bémol pour moi… “Je l'ai lu beaucoup trop vite, du coup, il est déjà fini !… et il va falloir que j'attende maintenant pour “retrouver” sa plume !”
De l'originalité, un peu de folie et beaucoup d'imagination, Gaëlle, continue à nous surprendre tel que tu le fais si bien !
PS. J'aimerais beaucoup retrouver Enora dans de nouvelles aventures !!!
Mais comme tu le dis si bien, « Le futur peut attendre. Je veux profiter de mon présent. »
Un grand merci au Éditions Des livres et du rêve, pour ce superbe présent… passé/futur ?
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