"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Papa a un cancer.Papa a un cancer et tout le monde se doute de la fin. De toute façon me direz-vous, il n'y a qu'une fin. Et à la fin, on meurt. Papa a un cancer et c'est comme si j'écrivais : Papa va mourir. Quand ? Bientôt ?Papa a un cancer et c'est comme si j'écrivais « Papa est mort. » Déjà. Ce livre n'est pas un roman. Il n'y a aucun suspense. Au début, vous connaissez déjà la fin.
J’ai refermé ce livre en larmes. Je suis assez sensible, mais quand en plus ça touche à la famille, je suis sensible plus plus. Et là, impossible de rester insensible à cette histoire ! J’ai été énormément touchée par les mots de l’autrice, une histoire vraie et un livre écrit sous forme de journal intime.
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Tout au long du livre, on suit la période où son père à découvert sa maladie, jusqu’à son décès, j’ai eu la gorge noué tout au long de la lecture. Dès le début, on connaît la fin, et on la redoute. Au travers de ses pensées, de ses états d’esprits, l’autrice réussit à faire passer tellement d’émotions !
Papa a un cancer.Papa a un cancer et tout le monde se doute de la fin. De toute façon me direz-vous, il n'y a qu'une fin. Et à la fin, on meurt. Papa a un cancer et c'est comme si j'écrivais : Papa va mourir. Quand ? Bientôt ?Papa a un cancer et c'est comme si j'écrivais « Papa est mort. » Déjà. Ce livre n'est pas un roman. Il n'y a aucun suspense. Au début, vous connaissez déjà la fin.
Nathalie nous livre ici en toute pudeur son journal intime des derniers mois vécus avec son père.
Les mots sont justes, décrivant son quotidien balayé par ce drame intense et cruel.
À la lecture de ce roman court, je me suis posée la question de ce que je souhaiterais laisser, transmettre, dire à mes proches avant de partir..
L histoire d'amour filial décrite ici est belle, même si douloureuse.
La plume de Nathalie est sincère, juste, poétique et doit être plus connue
Cordialement. Marie Heckmann
Dans « Semer des graminées », comme le dit Nathalie, il n’y a pas de suspens, on connaît déjà tous la fin. Ce roman est, selon moi, un besoin presque vital pour Nathalie d’avoir écrit, d’avoir mis des mots sur ce qu’elle a vécu, ressenti durant toute la maladie de son père. Dans son récit, dans son écriture, Nathalie est très intimiste et très pudique. J’ai ressenti un besoin d’écrire son amour envers son père et d’exorciser tous ces longs mois où malheureusement, ils attendaient tous la fin, celle qui a défié les pronostics des médecins, celle qui a mis plus de temps à arriver. Humblement, sensiblement, Nathalie raconte avec ses mots sa colère, son déni, son amour, son incompréhension. Tout est là, écrit noir sur blanc. Son amour pour son père. Sa peur de ne plus le voir. Son questionnement sur l’après. Son besoin d’être présente le plus possible. Son besoin d’entendre des mots qui ne viendront pas. Son courage. Sa famille. Ses soutiens. Son rapport à la maladie, à la mort. Ses mots sont touchants de sincérité. Ses mots sont les mots d’une fille accompagnant, malgré elle, son père. Ses mots sont ceux d’une auteure sensible. Ses mots sont son besoin.
« Semer des graminées » est un très bel hommage à un père parti toujours trop tôt pour une fille. « Semer des graminées » est un moment de la vie de Nathalie, un moment important pour elle. « Semer des graminées » est essentiel à Nathalie. Et merci Nathalie pour tes mots si doux pour un moment si brutal.
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