"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« J'aurais pu vivre en paix. Mes ennemis m'ont jeté dans la guerre. » Darrow n'est pas un héros. Tout ce qu'il souhaite, c'est vivre heureux avec l'amour de sa vie. Mais les Ors, les dirigeants de la Société, en ont décidé autrement. Ils lui ont tout enlevé : sa raison de vivre, ses certitudes, jusqu'à son reflet dans le miroir.
Darrow n'a plus d'autre choix que de devenir comme ceux qui l'écrasent. Pour mieux les détruire. Il va être accepté au légendaire Institut, y être formé avec l'élite des Ors, dans un terrain d'entraînement grandeur nature.
Sauf que même ce paradis est un champ de bataille. Un champ de bataille où règnent deux règles : tuer ou être tué, dominer ou être dominé.
ÉLU MEILLEUR PREMIER ROMAN 2014 PAR LES LECTEURS DE GOODREADS ET BUZZFEED.
Un roman qui nous propose une société de castes régies par une élite les ors. Chaque caste est dévolue à une compétence, artistique, techniciens, domestiques.... À coup de manipulations génétiques chaque humain est façonné selon sa caste. Darrow est dans la plus basse caste les mineurs veut se venger et intègre l'élite pour faire sauter la société de l'intérieur. La plume est passionnante, le récit violent et engage le lecteur.
« Red Rising » est le premier des trois tomes de la saga dystopique imaginée par Pierce Brown.
Le héros, Darrow, n’a pas la vie d’un adolescent classique: il vit sur Mars, au sein du groupe qui occupe la place la plus basse sur l’échelle sociale, les Rouges, est déjà marié et travaille durement à la mine. Il est un fossoyeur, le meilleur parmi ses pairs, et passe la majorité de son temps à creuser la roche dans l’espoir que ses efforts permettront aux Hommes de pouvoir enfin investir la surface de la planète.
Au sommet de la société, les Ors ne cessent en effet de marteler au petit peuple qu’ils sont la clé de la réussite de leur plan et que rien ne sera possible sans eux.
Darrow donne donc tout ce qu’il a, jours après jours, et ne se permet que peu de libertés. Et quand Eo, celle qu’il aime, l’entraîne dans un lieu interdit et lui donne un avant-goût du bonheur, il hésite, aveuglément fidèle aux principes qui lui ont été inculqués depuis toujours. Il ne comprend pas non plus quand elle lui parle de rébellion et d’opposition au pouvoir en place, tout ça est à mille lieues de ce à quoi il aspire et il refuse de mourir avant d’avoir 30 ans, comme son père avant lui.
Mais les deux jeunes gens sont découverts et, alors qu’ils sont amenés en place publique pour être fouettés, Eo entonne un chant interdit, le chant de la liberté, et bouleverse par son sacrifice la vie de son mari. Désormais plus rien ne sera comme avant et Darrow, épaulé par d’obscurs alliés, va tout mettre en œuvre pour venger sa bien-aimée et, pour la première fois, mener un Rouge à la tête d’une société qui s’est construite sur le mensonge et l’exploitation des plus faibles.
J’ai beaucoup aimé la première partie, celle où l’on découvre Darrow et, à travers lui, le destin de tous les Rouges, appelés à passer leur courte vie dans les entrailles de Mars. L’ambiance lourde et oppressante est quasiment palpable et, en tant que lecteurs, nous avons nous aussi du mal à respirer dans cet univers particulièrement sombre où le plaisir n’a pas sa place.
Darrow a une personnalité duelle, il est à la fois totalement investi dans son rôle ( il ne s’imagine d’ailleurs pas occuper une autre place que la sienne ) et tête-brûlée au travail, déjà un peu rebelle sur les bords même s’il n’en a pas encore conscience. Il est très attaché aux quelques membres de sa famille encore en vie mais, plus que tout, à Eo, sa femme, qui voit en lui le héros qui bouleversera l’ordre établi. On n’a aucun mal à s’identifier à lui lorsqu’il la perd et qu’il s’effondre sous le poids du chagrin, ni même lorsque, miraculé, il décide de se servir de sa peine comme une arme pour la venger, elle et tous les siens.
J’ai par contre bien moins accroché aux parties suivantes même si l’action est prenante et que des rebondissements inattendus donnent du rythme au récit ( qui tend cependant à s’essouffler en partie 3 ). Les rapprochements avec des dystopies existantes sont inévitables, Hunger Games et Divergente notamment, puisque pour arriver au bout de la première étape de son plan Darrow doit participer à un cruel jeu de guerre qui oppose plusieurs maisons. Il y a du sang, de la trahison, une ambiance violente et glauque… rien ne nous est épargné! Et, finalement, l’aspect dystopie/science-fiction de l’histoire passe au second plan.
J’hésite du coup à poursuivre avec le second tome…
Pour résumer: Pierce Brown livre un roman efficace où l’action prend place dans un monde crédible et bien pensé ( même si ça sent le déjà-vu ), et on suit avidement les aventures de Darrow, propulsé héros malgré lui.
L’écriture est agréable, moderne et inventive ( l’auteur use et abuse de néologismes pour décrire les armes et la technologie – c’est un peu déroutant au début d’ailleurs ), et les différents personnages, Darrow en tête, forme une intéressante galerie ( Sevro et son père ont particulièrement retenus mon attention ).
Je comprends aisément que les fans de Hunger Games aient été conquis mais, personnellement, je sors de cette lecture un peu perplexe.
Red Rising est un livre qui se détache et se démarque par tellement de points : son écriture, son style, la richesse de son vaste univers, les personnalités très marquées des dizaines et dizaines de personnages. Il y a de nombreuses épreuves, de nombreuses dynamiques de situations et entre personnages, des échanges, des épreuves, des plans, des tactiques, des retournements de situation.
Il se passe tellement de choses, on explore tellement d'endroits, de situations, de lieux, de paysages, qu'on a l'impression de lire au moins deux tomes. L'univers est tellement riche, on a des indices et aperçu de l'amplitude de celui-ci, on a juste hâte d'en découvrir plus sur les différents clans, planètes, les familles, tout.
J'ai adoré l'écoute de Red Rising en livre audio. C'est très bien lu, le rythme est parfait, les tons, on est dedans. Avec eux. Cette lecture est immersive.
Pour moi il s'agissait d'une relecture, ayant lu le livre papier il y a quelques années ça a été un vrai plaisir de redécouvrir ce livre en version audio. C'était une très bonne expérience et j'espère vraiment pouvoir écouter la suite en audio également !
Je recommande vraiment cette saga et ces versions en audio !
Ce roman m'a intrigué chez France Loisirs à chaque fois que j'y allais, j'ai donc tenté l'aventure malgré de grosses appréhensions, je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre avec ... Le résumé m'intriguait mais me faisait penser à un livre plus pour des lecteurs masculins et pour la couverture, ce n'est pas trop mon truc non plus, je trouve qu'elle manque d'un truc qui nous renseigne sur notre lecture.
Mes appréhensions se sont retrouvé fondées, je n'ai pas vraiment apprécié la lecture de ce roman car il n'entre tout simplement pas dans ce que j'apprécie malgré une base d'histoire qui me plaisait beaucoup avec ces castes qui classe les habitants de cette dystopie et cette promesse de rébellion, au final, je me suis ennuyé et j'ai décroché dès ce 1er tome même si je me suis forcé à le finir et que la suite peut peut-être bien mieux.
J'ai gardé cette impression que c'est un roman qui s'adresse plus au lecteur masculin avec toutes ces histoires de stratégie et de combat c'est le genre d'histoire qui ne me plaît pas, mais les fans du genre et les hommes en particulier devraient apprécier cette lecture dont je ne lirais pas les prochains tomes.
Tout d’abord je remercie les éditions Hachette Romans ainsi que NetGalley de m’avoir permis de découvrir ce roman. J’avais entendu beaucoup d’éloges à l’égard de Red Rising qui sont je trouve amplement méritées.
On est projeté sur la planète Mars où les Hommes sont loin d’être égaux. Sur la Planète Rouge, chaque couleur représente un statut. Les Ors font partis de l’élite opposés aux Rouges en bas de l’échelle. Darrow, le protagoniste appartient à la seconde catégorie. L’injustice va frapper à sa porte et le réveil s’avère brutal…
L’univers dystopique de Red Rising est très bien construit. Je tire aussi mon chapeau à l’auteur qui a dû fournir un travail énorme sur cet univers. En contrepartie, l’univers est tellement riche qu’il faut bien s’accrocher, c’est le genre de roman où il va falloir se concentrer au risque de décrocher. Red Rising est un roman complexe, les personnages secondaires sont extrêmement nombreux et les informations fusent parfois dans tous les sens. D’ailleurs je pense que ce roman est beaucoup plus mature que les young adult d’habitude. J’ai failli me procurer ce roman en anglais et heureusement que je ne l’ai pas fait car ça me semble être une lecture bien trop compliquée pour la lire en version originale.
A l’instar des personnes qui trouvent ce roman bien trop similaire avec Hunger Games ou d’autres dystopies, j’ai trouvé Red Rising très original en son genre. A mon sens, on doit cela principalement à l’atmosphère qui y règne ajoutée à la plume de l’auteur qui nous dépeint un univers riche et une intrigue surprenante. L’héros est confronté à des moments tragiques et je m’y suis vite attaché. Je partageais profondément son envie de justice à travers sa quête pour un monde meilleur.
J’ai trouvé que Red Rising comporte tout de même quelques longueurs notamment dans la seconde partie du roman. Après de très nombreux rebondissements, le rythme s’est quelque peu essoufflé. Peut-être serait-ce le calme avant la tempête du second tome ?
Red Rising a été une lecture palpitante. C’est un roman composé d’enjeux politiques, de stratégie, d’amitié, de confiance, de trahison. Tout est au rendez-vous pour captiver le lecteur.
Je pense que cette trilogie a un énorme potentiel et a beaucoup à nous offrir. Il me tarde de lire la suite !
Avis complet : http://vibrationlitteraire.com/2015/07/08/red-rising-pierce-brown/
Red Rising est une bonne lecture, palpitante, addictive.
Ce livre m’a à la fois fait penser à Red Queen de par la hiérarchie avec les couleurs et Hunger Games de par l’intrigue menée par des adolescents poussés à l’extrême, poussés à tuer, mis dans des situations sordides sans aide des adultes qui les regardent faire avec amusement.
Red Rising nous offre de belles situations d’amitié, de confiance mais aussi de trahison et beaucoup de stratégie.
Cette histoire contient énormément de violence, voir de barbarie et ce roman n’est donc pas à mettre dans toutes les mains. Si vous n’aimez pas les animaux morts, les membres arrachés, etc, alors passez votre chemin.
Nous suivons donc Darrow, le personnage principal de cette grande histoire. Il est très courageux, résistant aux épreuves que cela soit physiquement ou psychiquement et rempli d’amour. Son amour est clairement sa force et sans celui-ci, il n’aurait jamais réussi toutes ces épreuves.
Il est amené voir forcé à réaliser de terribles choses tout en étant immergé dans un monde qu’il ne connait pas. En effet, il vient des mines rouges et se fait catapulter dans la société des Ors, les dirigeants. Il est bluffant.
A côté, les autres personnages changent énormément. On apprend bien à en connaître certains avant qu’il n’y ait un rebondissement et que l’on se retrouve avec d’autres. Ce défilé de personnages différents est très logique et parfaitement mené : on ne se perd absolument pas !
L’histoire se déroule sur Mars. La Lune a été colonisée elle aussi depuis la Terre. Il s’agit d’une dystopie où la société est hiérarchisée en fonction des couleurs : les rouges sont les esclaves, dans les mines de Mars et les ors sont l’élite de la société, les dirigeants, les plus riches. Ce sont eux qui orchestrent et commandent tout. La société est axée vers une conquête spatiale quasiment totale. Ils parlent souvent d’investir d’autres planètes.
J’ai beaucoup aimé cet univers même si j’en avais un peu marre d’être sur Mars … je n’aurais pas du enchaîner Phobos et Red Rising !
L’intrigue est excellente. Le récit est bourré de rebondissements et d’action, il n’y a pas de temps morts. Le dénouement est bon, loin d’être prévisible dès le départ à cause de la multitude de rebondissements. On reste scotché la plupart du temps, désireux de savoir la suite.
Darrow nous balade même de temps en temps, on ne sait pas toujours ce qu’il prépare et c’est vraiment génial !
L’ambiance est cependant parfois dérangeante. Des animaux meurent beaucoup et j’y suis très sensible (plus qu’à une mort humaine, allez savoir pourquoi). Beaucoup d’adolescents meurent, sont blessés, amochés, etc. Les personnages sont globalement attachants mais on se méfie jusqu’à la fin de tout le monde.
Darrow est immergé dans un “jeu” de guerre grandeur nature contre ses petits camarades divisés en maisons et qui doivent régner pour gagner. La clé de ce jeu est la stratégie. Darrow y prend goût, il y a de gros enjeux pour lui. L’évolution de Darrow est vraiment magnifique : il apprend en allant, il mûrit beaucoup au fil de l’histoire.
La barbarie est vraiment très présente, le discours est parfois vulgaire. Il est étonnant de voir ce que les enfants nés avec une cuillère dans la bouche peuvent devenir dans ce genre de situation.
Petit bémol pour moi, j’ai trouvé la transition de Darrow un peu trop facile. En effet, il passe de l’esclave manipulable n’aspirant à rien à un guerrier vengeur stratège ultra sanguinaire … Même s’il est vrai qu’on ne peut pas vraiment savoir comment évoluerait un être humain après avoir traversé les même épreuves que lui !
En conclusion, Red Rising est un roman qui a clairement de l’avenir. Si vous ne l’avez pas encore lu alors préparez-vous à l’acheter car, à l’image d’Hunger Games ou de Divergente, je pense que Red Rising deviendra un ” must have ” que tout le monde finira par avoir lu. L’histoire est époustouflante de rebondissements, la fin donne clairement envie de continuer avec le tome 2.
En bref, si vous n’avez pas trop l’âme sensible, je vous le conseille !
Une bonne claque !
Décidément je ne tombe que sur des coups de cœur en ce moment et Red Rising ne déroge pas à la règle. Cela fait bien longtemps que je n’avais pas lu de dystopie avec autant d’action et surtout aussi violente. En lisant la première fois le synopsis je ne m’attendais pas du tout à une histoire comme celle-ci, j’ai vraiment étais surprise !
Lorsque j’ai vu que cela se passait sur Mars, j’ai faits le rapprochement avec Phobos, mais pas du tout. Mars dans Red Rising est déjà colonisé et civilisé.
Avant de lire ce livre, j’ai vu de nombreux avis positifs et puis il a beaucoup de succès aux États-Unis. Mais je ne voulais pas avoir d’attentes alors je me suis lancé sans a priori et maintenant que ma lecture est fini je peux vous dire ce roman va me marquer pendant longtemps.
L’histoire commence très doucement ce qui peut en freiner certains mais il faut surtout se laisser porter par le rythme car quand l’élément déclencheur principal du livre va se produire le livre monte en intensité. Au début du récit on rencontre Darrow, un jeune rouge de 16 ans qui travaille durement pour nourrir les siens. On apprend qu’il est marié à Eo, sa jeune femme à un esprit de révolutionnaire qui va lui causer du tort.
Jusqu’au jour où un événement tragique va pousser Darrow à se faire passer pour quelqu’un d’autre, ceux qu’il déteste le plus au monde, les Ors. Son propre reflet va d’abord le dégoûter mais pour accomplir son objectif, il va se laisser porter par ses ambitions et va jusqu’à ne plus se reconnaître. Darrow est vraiment un de mes personnages coup de cœur, c’est lui qui porte le livre. Ce n’est ni une bonne ou mauvaise personne, on se retrouve impliqué avec lui dans des situations les plus dangereuses et on ne peut pas lui rejeter la faute car à chaque fois on se pose la question de ce que nous on aurait pu faire à sa place et la réponse est celle que Darrow a décidée pour nous. Il est très humain, intelligent bien qu’il se laisse des fois dépasser par les événements il n’oublie jamais d’où il vient. Lorsque j’ai refermé le livre, et que j’ai pensé au Darrow du début j’ai compris à quelle point il avait changé juste dans un seul tome. Son évolution est grandiose et j’ai hâte de savoir à quelle point il va changer dans le deuxième tome.
Dans ce premier tome, Darrow doit affronter bon nombre d’ennemis. Je crois que c’est une des premières fois que j’ai étais autant emporté par ces complots et ces tactiques de guerre lorsque Darrow participe à ce jeu de stratégie entre les Maisons. Les coups dans le dos sont à tous les chapitres, et ce qui est magnifique c’est que les ennemis d’hier deviennent finalement les plus grands soutiens et deviennent des amis précieux. Les personnages secondaires sont extra, on rit, pleure et chante avec eux. Les alliances les plus folles sont celles qui sont les plus belles. Darrow fait beaucoup de mauvais choix mais ils en apprennent toujours de ces erreurs et finalement à la fin du tome, on voudrait le protéger et l’aider. Ce qui devient problématique c’est que les Ors qui étaient des ennemis commencent à devenir de vrais amis pour Darrow. On prend conscience que malgré qu’il y ait des castes dans cette société, il y a des bons et des mauvaises personnages partout. Mon second coup de cœur revient à Sevro, un personnage qui n’est exploité que vers le second parti du roman. Sa relation avec Darrow est magnifique j’ai adoré leurs complicités mais beaucoup d’autres personnages m’ont touché aussi.
Ce que j’ai aimé le plus dans le livre et qui m’a beaucoup surpris est les touches d’humour que l’auteur se permet de mettre dans les situations les plus dangereuses. Pierce Brown n’hésite pas à sortir des perles à tout bout de champ comme ce passage que j’ai adoré :
—Hé, mais c’est mon pote de bidoche ! s’exclame Tactus de sa voix traînante.
—Pourquoi tu boites, mon vieux ?
— Demande à ta mère, grogne Sevro.
— C’est ça. Même sur la pointe des pieds tu ne pourrais pas lui embrasser le menton.
— C’est pas son menton que j’essayais d’embrasser.
Tactus éclate de rire, l’applaudit des deux mains et le serre contre son cœur.
Je me suis marré bons nombres de fois et je ne m’y attendais pas dans un livre comme celui-ci !
Concernant la fin, elle convient tout à fait au registre du livre. Un passage marquant qui annonce que de bonnes choses pour la suite. Ce livre m’a vraiment plu car il est très entraînant, il ne me restait plus que 6 chapitres et j’étais déjà nostalgique mais pourtant j’avais vraiment envie de presser pour savoir la fin !
En conclusion, Red Rising additif, ensorcelant et mémorable. Bien que certains puissent y voir des similitudes avec Hunger Games, je trouve que Red Rising est quand même bien différent avec cette œuvre car il a beaucoup d’originalité surtout au niveau des personnages qui sont fantastiques et envoûtants. Je lirais le tome 2 très vite car il me tarde de savoir la suite mais surtout de revoir mes précieux personnages !
https://erikia.wordpress.com/2015/10/28/red-rising-tome-1/#more-689
Quand j'ai commencé ce livre, je n'étais pas dedans, convaincu par l'histoire ... Principalement à cause de certaines "ressemblances" :
Les différentes catégories sociales qui ont un nom de couleur = Red Queen
La plus basse catégorie de couleur qui est le rouge = Red Queen
Les résistants dans les souterrains = Red Queen
MAIS,en fait, ce livre n'a rien à voir avec Red Queen !!
Dès que les ressemblances avec Red Queen (qui reprend beaucoup d’éléments de YA je trouve....) ne sont plus là, c'est juste fantastique !
Ce livre nous fait découvrir un monde que d'autres ya n'avaient jamais inventé, une histoire pleines de rebondissements, un mélange lointain des œuvres de Rick Riordan et de Suzanne Collins pour un super résultat !
Les moins du livre sont dérisoires :
- des expressions linguistiques pas très "sophistiquées" ^^"
- une fin rapide
MAIS la suite va être sans doute aussi GENIAL ! :D
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