"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'imaginaire, seul, s'exprime dans « Ramallah ». Nous sommes transportés au Moyen-Orient, pays d'Aladin et des contes des mille et une nuits, où tout se côtoie, se mêle et s'entremêle, puis disparaît pour mieux renaître plus loin... tels des djinns et des farfadets, dans ce berceau de l'humanité où les hommes, le soir, se reposent et racontent... Un nouveau mythe se crée et naît sous les étoiles.
La mythologie nous a appris l'amour fou du roi Salomon pour la reine de Saba en passant par celui de Samson et Dalila, de Marc-Antoine et Cléopâtre à Tristan et Yseut et tous les autres, mais tous ont vécu la « maladie d'amour-passion ». Une passion si folle, si intense, qu'elle n'engendre que violence, colère, rage, folie, haine, jalousie, vengeance et aussi, malheureusement, la mort.
La Palestine est le carrefour de toutes les passions et des conquêtes depuis le commencement du monde. Elle en est le foyer historique au Moyen-Orient. Ramallah est la ville-étape où la lampe d'Aladin, au commencement de la nuit, va laisser échapper dans sa flamme et la fumée odorante de la myrrhe un génie et un nouveau conte... des mille et une nuits. Le conte éphémère d'une nuit de folle passion et de violence... entre Sarah la belle Israélienne et Abdallah le Palestinien.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !