"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Récits littéraires, témoignages, promenades, moments d'histoires inattendus, instantanés du regard touristique, extraits introuvables ou inédits, journaux intimes, tranches de vie, fenêtres sur cours : voici Poitiers qui rit, Poitiers qui pleure, Poitiers qui prie ou se met en colère. Non la réalité scrupuleuse d'une ville, mais son imaginaire : son parfum, plutôt que le flacon. Les dorures, mais aussi la misère ; l'admiration inconditionnelle, mais aussi les coups de griffe.
Place d'Armes qu'on revisite, place du Marché dont on détruit le forum romain, rues Gambetta ou des Trois-Rois, quartier de Monbernage, bourgs de Ligugé, St-Benoit, Migné : scènes de la vie bourgeoise ou aristocratique, jeunesse étudiante qui s'agite, duels, affaire Dreyfus, amours, sans compter les moments douloureux des guerres.
Une centaine d'auteurs : Henry James admirant le Clain depuis Blossac, pèlerins en gare vus par Zola, paroles généreuses de Maurice Fombeure ou Jean Rousselot, vers économes de René Guy Cadou ou Léopold Sédar Senghor, notations étrangères d'Andersen, Ezra Pound, Nedim Gürsel ou Alberto Manguel, présence littéraire d'Émile Faguet, Joris-Karl Huysmans, Jean-Richard Bloch, Louis Parrot. Et quelques femmes, trop rares sans doute, d'André Léo à la comtesse Dash, de Thérèse Aubaret à Rachilde.
Poitiers comme vous ne l'avez jamais lu...
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