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Tout au long de son oeuvre, George Steiner s'est interrogé sur la poétique de la traduction et sur le sens de la lecture, ce qu'il appelle sa " responsabilité ".
Dans cette Préface à la Bible hébraïque, c'est-à-dire à l'Ancien Testament des chrétiens, il se frotte au texte fondateur de notre culture et à ses diverses traductions. Prenant pour point de départ la King James Version (1611), qui fut le véritable creuset de la langue anglaise, comme la Bible de Luther le fut de la langue allemande, il offre une analyse concise mais percutante des enjeux de la traduction.
Interrogeant le texte biblique à la lumière de l'histoire moderne, notamment de la Shoah, il montre en virtuose pourquoi c'est ce livre qui " pose le plus de questions à l'homme ", en quoi il a façonné notre conception même du divin, de la création, de l'inspiration, mais aussi de la littérature, de Shakespeare à Moby Dick. George Steiner nous rappelle enfin à quel point toute lecture de la Bible reste une aventure risquée.
À ce titre, cette préface, qui est sans conteste l'un des textes les plus personnels de l'auteur, est aussi une méditation sur la transcendance et sur le sens même de l'écriture, qu'elle soit de Dieu ou de l'homme.
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