L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Je suis l'apatride, le gitan des vers, qui se joue des mots comme des frontières, métèque de Manouchian, la cible des nationaux, des chasseurs de têtes, je n'ai de patrie que votre planète, j'ai choisi mon camp depuis plusieurs siècles, lorsque l'occident a perdu la tête. Frère des rebelles morts sans parler, face à vos paras dans les rues dAlger, je n'aime la femme que lorsqu'elle est noire, ai-je trop aimé celle de Sédar ? « Femme nue, femme noire vêtue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté », absous tous mes regards sur ta volupté J'ai le coeur XIXe, l'esprit arabe, la chaleur noire, la verve napolitaine, Adhbâ au kamis, la monture kabardine jetée contre les vents, de Médine la sainte au rougeâtre Levant, le regard sur Al-Quds (Jérusalem en arabe) et les larmes au Darfour, sur Paris un séant, en Provence mes ksour.""
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique