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Ouvrage collectif sous la direction de Philippe Luez, conservateur du musée national de Port-Royal des Champs Par un arrêt du Conseil d'État du 22 janvier 1710, le roi Louis XIV ordonnait la démolition du monastère de Port-Royal des Champs, dont il avait fait disperser les dernières religieuses le 29 octobre 1709.
Bien que détruite entre 1710 et 1713, l'abbaye de Port-Royal des Champs a gardé une existence matérielle grâce aux gravures exécutées par Madeleine Horthemels (1686-1767). Dans l'historiographie de Port-Royal, cette artiste demeure une inconnue-célèbre, comme beaucoup d'autres dans le panthéon janséniste. La suite qu'elle grava vers 1711, à l'âge de vingt-cinq ans, est familière pour tous ceux qui s'intéressent à l'histoire du monastère ou du jansénisme. Mais combien a-t-elle exécuté de planches ? Quand les a-t-elle gravées ? Que voulait-elle réellement montrer à ses contemporains et pourquoi cette modeste suite connut-elle un tel succès au long du XVIIIe siècle ?
Cet ouvrage s'inscrit dans l'exposition "Port-Royal ou l'abbaye de papier" organisée par le musée national de Port-Royal des Champs du 15 septembre 2011 au 15 août 2012.
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