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Je suis Tatiana Planck, étudiante en commerce, à Brest. J'ai été aussi la compagne, désormais inconsolable, de la mystérieuse Annah Soussan. Paix à son âme !
En 2020, son histoire extraordinaire nous a tous bouleversés sur les réseaux sociaux et dans la presse. Moi, je crois qu'elle a tant oeuvré pour l'humanité qu'elle mériterait le Panthéon ! Oui, je persiste et signe : le Panthéon près de son cher Zola ! Franchement, n'êtes-vous pas d'accord ? Je sais, en haut lieu on me répondrait qu'elle était fêlée, qu'elle faisait de son encrier un usage peu catholique, dans sa chambre de la résidence Penn Foul, face à la rade ! Je rétorque ceci : vous ignoriez que c'étaient des écritures d'amour qui cachaient les longues blessures de son enfance...
Oui, Annah mérite le Panthéon ! Annah et la jolie Dora, aussi.
En attendant, pour préserver la mémoire de ma bien-aimée, j'ai contacté l'écrivain Paul Auzoul. C'est un gros étourneau solitaire, qui observe la vie sur un fil électrique. Dans son atelier, je lui ai proposé cette idée folle d'écrire l'histoire d'Annah, pour moi, pour vous et eux, pour l'humanité du dessus et du dessous. Il a accepté malgré le défi d'écrire la vie d'une femme qui tourne au mythe. Moi, je trouve son roman pas mal du tout, même s'il me traite comme une midinette de pacotille flanquée d'ailes d'ange.
Eh, Auzoul ! Mon vieux, ne joue pas trop les Auteurs ! On règlera nos comptes un jour, pas loin du Palais des Bonnes quand ton tour viendra...
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