Des romans, livres de recettes et BD pour se régaler en famille !
On ne peut pas mourir dans ce monde, l'auteur décrit un personnage typique ouzbek du xxe s., le prénom du personnage principal convient parfaitement à Botir firqa, c'est un homme courageux (Botir-signifie en ouzbek : courageux, brave et audacieux), une personne qui connaît le mal et le bien, qui est un fonctionnaire, qui est un firqa. Il reconnaît toujours ses affaires, ses actes qui sont absurdes et indignes, mais, d'après l'exigence de la situation, il ne ménage pas les autres et même lui-même pour réaliser la politique du régime de l'époque. A la fin du siècle les convictions auxquelles il avait cru sont devenues absurdes, les monuments qu'il avait construits avec ses mains commencent à s'écrouler l'un après l'autre. A ce moment-là, l'auteur exprime avec un grand talent inattendu les processus qui se passent dans sa psychologie et son sort, à la manière tragi-comique. Ce roman de l'auteur devient un incroyable monument littéraire constitué par la magie des mots au moment de la fin du despotisme et au début de l'indépendance.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dernière réaction par Jean-Thomas ARA il y a 17 heures
Dernière réaction par Yannis Fardeau il y a 4 jours
Dernière réaction par RC de la Cluzze il y a 5 jours
Des romans, livres de recettes et BD pour se régaler en famille !
Découvrez 6 romans délicieusement horrifiques et tentez de les gagner...
Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Yeong-ju est l’heureuse propriétaire d’une nouvelle librairie, située dans un quartier résidentiel de Séoul...