"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les filles sont partout dans ce roman. Elles mènent la danse. De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami. Des filles qui inventent, s'enflamment, aiment. Des filles qui se battent pour la vie. Et les hommes ? Ils sont là aussi. Mais ce sont les muchachas qui dansent, dansent, dansent. Elles font voler les destins en éclats. Et ça n'en finit pas !
J'ai commencé cette trilogie car la première m'avait emballée et que j'aime beaucoup cette auteure.
Une histoire de résilience et une intrique qui marche. On retrouve le style de Katherine Pancol, que j'adore, avec des dialogues vivants et des personnages entiers. Un vrai plaisir pour moi que de lire les oeuvres de cette autrice !
J'avais bien aimé la première trilogie mais là, les liens entre les personnages sont forcés / semblent peu logiques et apparaissent surtout comme utiles pour que l'auteur puisse enchaîner sur une nouvelle trilogie ; du coup, on voit des bouts d'histoires de certains personnages sans les retrouver de nouveau plus tard dans le livre, ce qui est décevant. J'ai trouvé cela assez décousu même si les personnages restent tout de même attachants.
J'ai eu du mal au début à comprendre le lien entre cette histoire et les différents personnages, et j'ai lu à la fin la note de l'auteure.
Et quelle histoire ! Les descriptions y sont subtiles mais criantes de vérités. On frissonne, on tremble, on rit et on pleure parfois. Il y a au fond une belle d'ose d'optimiste dans ce roman, j'ai hâte de découvrir la suite.
Un roman léger mais qui ne se lâche pas, on suit avec ravissement les histoire de ces femmes toutes si différentes dans lesquelles on s'y retrouve... Un roman choral qui nous fait du bien !
« La foi en la vie, c'est de croire qu'il y a une place pour toi derrière le brouillard. En ce moment, tu penses que tu es tout petit, tout cassé, sans importance, mais quelque part, derrière ce gris, une place t'ai réservée, une place où tu seras heureux ».
L'histoire de Selena et de sa mère Léonie est vraiment très poignante.
Très bon premier tome de cette trilogie.
Une histoire comme dans la vraie vie. J'ai bien aimé ce livre. Il est déjà fini ? ».
Reprendre les mêmes personnages que la trilogie précédente alors que nous étions nombreux à en avoir soupé, il fallait oser! Rajouter un zeste de paranormal sur le jeune Junior, et voilà comment on perd des lecteurs; j'ai eu envie de mettre une claque à tout ce petit monde! Terminé Katerine, tu ne me verras plus!
Un premier tome qui se lit rapidement, mais il manque ce petit quelque chose que j'avais bien aimé dans la précédente trilogie.
Quand j’ai entamé le tome 1 de « Muchachas », je l’ai fait dans l’idée que c’était la suite de la trilogie « Crocodiles-Tortues-Ecureuils » et j’espérais bien retrouver avec un plaisir un peu coupable Hortense, Joséphine, Zoé, Junior et les autres. Le 1er chapitre, à New-York, confirme cette idée, il est exactement dans le même esprit. Et puis, direction l’Yonne pour faire la connaissance de Stella et sa famille, une famille pleine de secret, de violence, de non-dits et d’intimidation. C’est sur Stella et sur son entourage que le livre est centré. Seul, en plein milieu et sans que l’on comprenne pourquoi, on retrouve Joséphine et Philippe en amoureux avant de retrouver Stella. Il faut presque 400 pages pour comprendre le lien entre l’histoire de Stella et les autres personnages que l’on connait bien. Cela donne un livre un peu bizarre dans lequel, je l’avoue, j’ai eu un mal fou à entrer ! Il m’a fallu beaucoup de temps pour comprendre tous les ressorts de l’histoire de Stella, mais aussi l’histoire de ses parents, des parents de ses parents, de ses amis. Au bout d’un moment quand même, on finit par mettre en place les personnages et à trouver de l’intérêt dans l’histoire de cette jeune femme, fille d’un père violent, manipulateur et dominateur et d’une mère effacée, battue, prisonnière. Ce qui est intéressant, et même assez bien vu, c’est le pouvoir inouï de Ray Valenti, pervers narcissique (un cas d’école) et l’ascendant qu’il à sur tout le monde, sur toute la petite ville où il vit. Il est pompier, cela le rend intouchable et lui a permis de connaitre tous les petits secrets de la ville. Mais lui aussi, à sa manière, il exorcise dans la violence une enfance difficile où il a été une victime. Psychologiquement c’est assez bien vu, c’est assez subtil. Le seul bémol à tout cela c’est que l’on met trop de temps à relier cette histoire (qui se serait suffit à elle-même) à la trilogie précédente. J’ai même cru un moment que j’allais arrêter après le tome 1. Mais le chapitre final, comme une bonne série TV, se termine sur un cliffhanger intrigant et qui donne envie, malgré tout, de connaitre la suite.
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