"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les épiceries de village ont presque toutes disparu. Outre leur utilité pour la vie quotidienne dans un temps où l'on n'allait pas au supermarché de la ville voisine, elles représentaient, à elles-seules, une bonne part de la sociabilité rurale. Les nouvelles du village s'y déversaient et s'y redistribuaient au même titre que la marchandise.
Dans le bourg médiéval auvergnat de Marcolès, pas très loin d'Aurillac, il y eut une épicerie qui, sous la houlette de la prêtresse des lieux, l'épicière Germaine Cazal, répondait à cette double vocation de commerce et de sociabilité... Les regards croisés de cinq de ses descendants, appartenant à deux générations successives, confèrent un relief étonnant à ces souvenirs pittoresques, dotés, parfois, d'une pointe d'humour et toujours de nostalgie. Les humbles Mémoires de l'épicière elle-même, rédigés en son vieil âge, viennent compléter cette collection de témoignages réunis autour d'un lieu devenu mythique, " le " magasin. Quelques photos illustrent ce modeste tableau anthropologique de la vie d'un bourg de la Châtaigneraie, pour une période allant de 1930 à 1969.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !