"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Plus que jamais soumis à ce qu'il appelle « le grand dessein de la Création », ou « la loi sexuelle », Walter, le narrateur, varie considérablement ses expériences dans la suite de cette Vie secrète si activement remplie. Certes, il poursuit dans la voie de la défloration, du voyeurisme et des amours vénales. Nous assistons ainsi, par le trou ménagé dans la cloison de la chambre d'une maison de passe, aux ébats d'ecclésiastiques et d'un superbe couple très amoureux. Des jeunes filles défilent, méticuleusement décrites, qu'elles soient géantes, musulmanes, grecques ou... entièrement épilées. Mais surtout, Walter s'associe durablement avec une fille de joie, ancienne danseuse de ballet, aussi souple de corps que de goûts. Elle lui présentera Jack, jeune ouvrier décorateur au chômage. Les deux hommes découvriront ensemble, et souvent avec la collaboration enthousiaste de Sarah, les charmes de l'étreinte homosexuelle. Walter en reste un temps obsédé par la sodomie. Ce qui ne l'empêche pas de se faire encore davantage philosophe et de parsemer le récit de ses amusements charnels d'opinions et de considérations diverses, bref de ces aperçus ingénus qui n'appartiennent qu'à lui.
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