"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ce deuxième tome des Mémoires de Marcel Schneider couvre la période 1940-1955 : il s'ouvre sur la défaite de la France et s'achève par une saisissante et très personnelle évocation de François Mauriac à qui l'oeuvre est dédiée. La drôle de guerre, l'Occupation, la Gestapo, la victoire. Après la Libération, nous entrons en littérature : avec Sartre au temps de {la Nausée}, Erté quand il n'était pas encore l'idole du monde entier, Cocteau dont Marcel Schneider voit l'oeuvre littéraire et graphique comme un grand opéra mythologique, avec, enfin, royale, incomparable, Marie-Laure de Noailles. Scènes de la vie mondaine, scènes d'intimité, amours graves, paysages d'Alsace, premier voyage en Espagne : quand Marcel Schneider conte son passé et se raconte, nos yeux s'agrandissent, notre intelligence s'aiguise... Bonheur.
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