"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les Voyages ordinaires, c'est peut-être un roman, c'est peut-être une histoire de la mélancolie. Une mélancolie qui aurait trouvé son herbier. Mais une mélancolie comme point de passage, celui de l'être qui passe, trait d'union de soi à l'autre, quels que soient les temps et les lieux : il faut dire aussi que la mélancolie c'est le bonheur d'avoir vécu. C'est ainsi explorer toutes les façons de faire monde, en soi, plus tôt, ailleurs, autrement, à la lumière de de ce qui aurait pu être comme de ce qui a été. Et ramener des visages, des silhouettes, des plantes, des animaux, et les insérer dans une sorte de kaléidoscope d'étonnement où derrière le fragment s'entend des continuités, des séries d'harmoniques, entre êtres vivants et corps imaginaires.
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