"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Par les soirs bleus d'été... de la guerre en allemagne.
Lui, il est Français. Il s'est évadé d'un camp allemand pour aller rejoindre les «Gaullistes» d'Afrique du Nord. On est en juin 1940, il a 22 ans et va se battre pendant 5 ans.
Elle, elle est Allemande. Elle s'est réfugiée chez sa tante Klara, à Rottenburg am Neckar, après les bombardements de Stuttgart qui ont détruit l'appartement de la famille. On est en septembre 1944, elle n'a pas encore 16 ans.
Neuf mois plus tard, les deux vont devoir cohabiter, dans la maison de Rottenburg qui vient d'être réquisitionnée par l'occupant français. On est le 2 juin 1945, la guerre vient de se terminer. Lui reste l'ennemi, elle l'adolescente effrayée : ainsi commencent «Les soixante jours du Français» qui vont marquer le refleurissement de la vie dans une Allemagne dévastée.
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