"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
De 3,5 à 4 millions de lettres par jour ont été envoyés aux soldats pendant la Première Guerre mondiale, tandis que de leur côté, les soldats envoient 1,8 million de lettres ou cartes quotidiennes. Les correspondances et les carnets laissés par les Poilus et leurs familles constituent ainsi un gisement inépuisable, particulièrement précieux pour la connaissance du français au début du 20e siècle. Souvent écrits dans des conditions extrêmes, ces textes témoignent de la langue de cette époque dans ses diverses composantes : populaire, argotique, militaire, régionale, familiale. Sans prétendre à l'exhaustivité, cet inventaire attentif et méthodique nous fait découvrir Le parler des Poilus avant qu'ils n'aient « fondu dans une absence épaisse ».
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