Paris, 1831. Les regards de Cosette et de Marius se sont croisés, un matin, dans le jardin du Luxembourg. Deux âmes disposées à s'aimer. Mais Jean Valjean veille, lui, l'ancien bagnard dont Cosette est devenue la seule raison de vivre. Promenades supprimées, déménagement : il croit tout danger écarté, quand soudain, une figure menaçante ressurgit du passé.
Facile à lire, grâce aux nombreuses séparations / chapitres (personnellement, j'aime ce "rythme").
Je vois l'importance de ce roman d'un point de vue historique, mais surtout d'un point de vue humain, par la compassion qu'il a pu susciter à l'époque pour la condition enfantine (Cosette), mais aussi à travers la dureté du système judiciaire (envers tous les Jean Valjean), la dureté de la société envers les familles pauvres, obligées de délaisser leurs enfants ou incitées aux pires bassesses.
Entres autres solutions pour Victor Hugo : l'éducation et la clémence.
Un grand homme, qui croyait semble-t-il en la bonté innée de la nature humaine, même s'il en présente le côté sombre créé par la cruauté de la vie.
C'est ce que j'en retire et en comprends en tout cas et je comprends mieux un tel succès.
Et lui aussi.....
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