"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Lorsque parurent en 1963 Les horreurs de l'amour, le grand critique André Thérive écrivit que c'était un chef-d'oeuvre, mais, précisait-il, «un chef-d'oeuvre insulaire», c'est-à-dire qui resterait unique dans son genre, que nul ne pourrait jamais imiter.Ce roman, qui a l'épaisseur des ouvrages de Dostoïevski ou de Dickens, qui est une somme sentimentale et psychologique comme celle de Proust, qui a la complexité, la minutie et les vastes mouvements de la vie, raconte les amours tragiques d'un député quinquagénaire et d'une dactylo de 25 ans. Mais au-delà de l'anecdote ou de l'intrigue, encore que celle-ci soit traitée comme elle doit l'être, il se dégage de toutes ces pages ce qui fait les oeuvres durables:une vision du monde, une philosophie, une métaphysique.
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