"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Paris, 1899...
L'industrie, portée par la force de l'Éther, a révolutionné le monde. Le ciel bourdonne de machines volantes, les automates sont partout qui agissent au service des hommes, hommes qui communiquent entre eux par téléchromos d'un continent à un autre. Dans cette ville moderne où s'ouvre une éblouissante Exposition Universelle, une jeune comédienne, Margo, aidée de son frère psychiatre, enquête sur la mort mystérieuse de son ex-maîtresse et d'un singulier personnage créateur de robots...
Écrites à deux mains par deux jeunes auteurs incroyablement doués, ces Confessions d'un automate mangeur d'opium sont un bonheur d'imagination et de virtuosité littéraire, à découvrir au plus vite.
Un monde froid fait de métal et de rouages avec ses propres codes, des maisons dotées de plateformes ouvertes d'où s'amarrent des machines volantes que l'on verrait très bien sorties des films de science-fiction de ces 30 dernières années. Et au sein de ce nombril métallique, les battements de cœur de quelques personnes en débattant avec du fil à retordre et, en prime, une pointe de recherche en troubles psychiques. Une sorte de steampunk dans un genre à part.
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