"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Nous sommes en 1621 (le roman s'achèvera en 1629). Louis XIII est le roi de France. Richelieu règne sur le roi et son royaume. Le Berri en [du roman] est le cadre, les perspectives et les coulisses. Apparaît en ouverture un certain Antonio d'Alvimar, au "coeur enfiélé", un ambitieux aigri, ayant raté son ascension à la Cour. Il est accompagné de Sanche. L'un est l'âme damnée de l'autre et vice versa. L'esprit de la sainte Inquisition les a modelés, enfiévrés, rapetissés, fanatisés. Alvimar est hébergé, pour se reposer de ses échecs et fuir des ennemis qu'il a l'art de se forger, chez l'aristocrate du coin, Guillaume d'Ars. Le pays garde des séquelles des guerres de religion. La haine ne s'est pas dissoute avec le temps. Les braises sont là, l'incendie peut ravager de nouveau. Par d'Ars, Alvimar va rencontrer Sylvain de Bois-Doré, seigneur de Briantes, devenu marquis par l'amitié de feu Henri IV. Ce dernier est entouré de serviteurs qui lui sont dévoués, dont Lucilio, italien disciple de Giordano Bruno, et par conséquent en danger après la mort sur le bûcher de son maître spirituel. Bois-Doré est bon.
Sa bonté excite la jalousie... » (extrait de la préface de Daniel Arsand à l'édition Libretto)
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