"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans un décor qui n'est pas sans rappeler le cinéma italien d'après-guerre, René-Jean évoque son enfance. Au long de son roman d'aventures, il découvre la magie des salles obscures, la férocité des enfants, la beauté des jambes des femmes, la violence de l'injustice. Le sordide y atteint parfois au sublime et n'y manquent ni l'émotion ni la drôlerie. La passion qu'il voue à sa mère agit comme garde-fou aux tumultes de sa vie, comme borne à sa souffrance et à sa rage d'enfant révolté. Le récit s'achève avec sa première incarcération : le voleur laisse son enfance aux portes de la prison.
Parfois il faut un peu de temps pour apprécier un livre. Parfois vous êtes attrapés dès les premières lignes.
Là, l'envoûtement a été tel que je l ai relu deux fois.
Je suis plus une adepte des thrillers, mais il s'agit là d'un beau moment de magie qui m'a été offert.
Je ne parlerai ni du fond ni de la forme. Comme tout envoûtement, il dépasse tout raisonnement quant à son objet.
C'est donc un avis très personnel... Et très subjectif !
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