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Le Stylographe se présente comme l'histoire de la genèse d'un roman centré sur le mécanisme de l'écriture et de ce que l'on appelle l'inspiration (ou la non-inspiration).
Ce texte développe une double mise en abyme : l'auteur du Stylographe met en scène un personnage qui écrit le roman d'un autre, auteur lui-même du récit du crime qu'il a commis - un récit rédemption ; le crime lui a été nécessaire pour marquer la réalité de son existence. Crime parfait, mais pas gratuit, à l'inverse de ceux de Lafcadio, des Caves du Vatican, ou de Raskolnikov, de Crime et Châtiment.
Ce roman narre les moments et les conditions d'écriture de deux ouvrages : La justification, et le récit du meurtrier. Leur auteur a choisi, pour ce faire, d'aller vivre retiré dans une région pré-montagneuse du Maghreb (l'Afrique du Nord à l'époque) : une grosse localité arabo-berbère de ce nord rude et attachant, loin des routes touristiques et du folklore du pays.
Là-bas, il nouera des liens avec sa voisine, enseignante au collège, "parachutée" comme lui. Il devra alors mener de front, non sans quelques difficultés, le temps d'une année scolaire, son travail d'écriture et sa relation amoureuse...
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