"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le jardin d'Aldjia et de Mélusine est presque un conte de fées : des fées voyageuses qui illustrent bien un état d'esprit de cette histoire humaine sans cesse renouvelée, entre le mythe et la réalité pour illustrer la femme kabyle magique et mythique à la fois, pour révéler la continuité des cultures qui bougent, qui se mélangent pour créer un renouveau permanent. En fait, ce texte révèle la diaspora kabyle avec cette image d'une petite fille kabyle à la main verte et son rêve de guérir l'humanité entière de ses maux quand elle sera grande. Le thème de l'exil reste omniprésent, cependant sublimé pour éterniser le bonheur de vivre le plus simplement du monde quand on prête vraiment attention à la vie, à la nature autour de soi. Toute la nature est merveilleuse, magique et bienfaisante. Dans mes bagages, j'ai trimbalé Aldjia la fée de ma grand-mère kabyle jusqu'à ce jardin de Mélusine la fée celte en Moselle !!! Je les ai faites miennes depuis. Toutes les deux font bon ménage et me comblent de petites joies permanentes en gardant ma mémoire et mon imaginaire toujours en éveil.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !