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Petit fonctionnaire dans l'administration du tsar Pierre le Grand, Goliadkine est un moralisateur qui ne maîtrise pas les règles de la haute société : le bon mot, le bon geste et les bons codes sociaux lui sont inconnus. Malgré tout, il décide de se rendre à une soirée mondaine pour voir la femme qu'il aime, Clara Olsoufievna, fille d'un haut fonctionnaire. Il se ridiculise et se fait expulser de la soirée. C'est alors qu'une ombre se met à le suivre, sans qu'il puisse lui échapper... Paru en 1865, Le Double met en scène le trait distinctif de tous les personnages de Dostoïevski : la dualité. Tantôt «ceci», tantôt «cela» : le protagoniste est le point de départ d'une opposition entre deux êtres si ressemblants, et pourtant que tout oppose. Comme Nicolas Gogol avec Le Nez, Dostoïevski dépeint deux entités qui ne peuvent vivre l'une sans l'autre, jusqu'à l'autodestruction.
J'étais bien partie, l'histoire est potable, mais le radotage des obséquieux personnages m'ont achevée.
Le premier roman que j'ai lu de cet auteur fortement inspiré à ses débuts par Gogol. Imaginez si sur votre lieu de travail, un nouveau salarié vous ressemblait trait pour trait et tentait de littéralement vous vampiriser la vie en piquant vos collègues, vos amis, qui habiterait chez vous, tenterait même d'avoir les faveurs de votre patron; ce serait un cauchemar ! Une histoire très Kafkaïenne en somme.
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