Le choix d'Alice est l'association d'un roman et d'un essai de philosophie politique sur les mutations en cours de notre civilisation.- Soumission, subordination face au pouvoir, pourquoi tant de résignation et d'impuissance ? C'est un combat de toujours. Elle savait déjà qu'il n'y a pas de combat sans idées. Un combat sans idée est une colère.- Le CNRM ne cherche pas à faire la révolution, il se positionne en tant que chercheur et générateur de possibles à venir. Si c'est cela militer, alors je veux bien.Le vent se lève. Venu d'ici et d'ailleurs. Il porte à travers le monde un souffle d'énergies nouvelles. Arrêter les pensées qui parcourent le monde, c'est vouloir arrêter le vent. Mettez-vous à l'abri, vous ne le sentirez pas, mais il passera quand même. Laisser-le passer, il s'arrêtera tout seul.- L'harmonie, n'est-ce pas mettre un peu de beauté dans le chaos du monde ? Alice « mon étincelle », l'éveilleur n'est-il pas en premier un éveilleur des sens ?
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