"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En mourant, la vieille Malie provoque le fou rire outrancier de ses enfants. Un manque de compassion que Thérèse, sa petite-fille endeuillée, a bien du mal à comprendre. Au coeur des déchirements familiaux, il lui faudra retracer cent ans d'histoire, pour démêler le drame fracassant de trois générations de femmes et libérer le présent des silences...
Thérèse apprend avec tristesse le décès de sa grand-mère, mais elle constate que cette disparition suscite la joie et l’allégresse chez sa mère et son oncle. Ils se partagent avec bonheur les biens laissés en héritage. Pourquoi cette mort peut-elle engendrer autant de sentiments si différents ? Et bien lisez cette magnifique saga familiale. Il est vrai que j’ai une tendresse particulière pour ces auteurs nordiques, allez ! laissez-vous tenter vous serez agréablement surpris
une histoire de femme sur plusieures générations.
Pour les inconditionnels d'Anne B Ragde,dont je fais partie
Une jeune femme apprend la mort de sa grand-mère,et découvre sur place la joie et le soulagement de sa mère et de son oncle.Elle a toujours aimé sa grand-mère,amour réciproque d'ailleurs.Le roman va expliquer le pourquoi de ces différentes réactions avec un style alerte,agréable à lire.On tourne avec plaisir les pages de ce vrai roman.
Thérèse la petite fille de Malie nous parle de sa grand-mère qui vient de décéder à Copenhague. Elle tente de comprendre cette femme qui n'inspire que haine à sa mère Ruby et à son oncle Ib, alors qu'elle a toujours éprouvé une grande tendresse pour cette affectueuse grand-mère. Pour cerner les sentiments contrastés qu'inspire cette grand-mère contreversée, l'auteur dissèque l'enfance et la jeunesse de Malie élevée dans une auberge, qui s'enfuit avec une troupe de théâtre à l'adolescence pour terminer chanteuse dans un cabaret jusqu'à ce que sa vie libertine la contraigne à se marier à Mogens un fils de pasteur peintre sur porcelaine et non le photographe de renom dont elle était si amoureuse ! Elle aura une fille, Ruby (maman de Thérèse) et un garçon Ib sur lesquels elle reportera cette haine de la femme qu'elle est devenue, elle qui rêvait de gloire et de paillettes. Au travers de ces trois générations de femmes, l'auteur nous dévoile une chronique familiale grinçante, des portraits puissants qui divisent ou enchantent selon son degré de sensibilité. La plume de cet auteur est toujours aussi incisive, elle a vraiment un don pour décrire les sentiments familiaux empoisonnés, mais au bout de 500 pages j'étais soulagée de quitter cette ambiance arsenic et de passer à autre chose !
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