"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Cette guerre fait suite à la « Première guerre de l'opium » de 1840 à 1842, qui a mis face à face la Chine et l'Angleterre et qui s'est soldée par une trop facile victoire anglaise suivie des « traités inégaux » au profit de l'Angleterre dont la cession de l'île de Hong Kong. L'opium commence alors à entrer, illégalement, en Chine. En fait ce sont deux mondes, ou deux conceptions, qui s'affrontent, l'un, occidental, ambitionnant d'élargir ses marchés pour réaliser de rapides profits dont le commerce de l'opium, l'autre, oriental, immobile dans ses traditions et ne recherchant pas le contact avec le monde extérieur.
L'Angleterre et la France tentent de faire réviser les traités existants afin d'obtenir un élargissement du marché chinois, avec comme produit « phare », l'opium, dont la rentabilité est sans commune mesure. Pour cela, il leur faut légaliser leur intervention. Ils utilisent un stratagème qui oblige les Chinois à arraisonner sur la Rivière des Perles un navire battant pavillon anglais l' « Arrow », le 8 octobre 1856, soupçonné de piraterie et de trafic d'opium. Ainsi débute ce conflit, la « Seconde guerre de l'opium ».
Napoléon III désigne le général Cousin-Montauban pour commander l'expédition militaire française. Il se couvrira de gloire et sera récompensé par le titre héréditaire de comte de Palikao, après la bataille qu'il remporta sur le pont de Palikao, devant Pékin, le 21 septembre 1860.
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