"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Et il tourne, tourne, le monde / Sourd aux agitations des hommes / Qu'il entraîne, traîne, en sa ronde / Au soleil glacé des atomes / À peine sorti d'une enfance ballottée, marqué entre autres par la guerre d'Algérie, il se réfugie dans l'écriture. Rapidement ce refuge devint besoin et c'est ainsi qu'il achèvera à l'âge de douze ans, un livre influencé par les récits de Dumas, et dont il ne reste que le titre : « Le Comte de la Ferrière ».
Engagé dans la marine à quinze ans, il jette sur le monde qu'il parcourt un regard pragmatique, d'où sortira en 1986 une première collection de vers libres : « Jours ordinaires ». Plus tard, en 2014, est publié « Si conter m'était permis » nouveau florilège plus intimiste, fidèle à sa devise : 'Le temps reste, mais le souvenir passe. Diego Brajerac « récidive » aujourd'hui avec ce nouveau recueil.
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