"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans le cadre subtilement analysé du milieu d'affaires transporté dans un village de montagne le temps d'une chasse au sanglier, un week-end de 11-Novembre, René-Victor Pilhes signe avec La position de Philidor un crime si parfait que l'on pense, en suivant les pions se mettre en place sur l'échiquier du crime, à cet art magistral de la préméditation du jeu d'échecs.Pas de hasard. Le crime est diabolique, «vicieux et mirobolant». Le mécanisme est implacable, programmé par un cerveau dont les capacités sont dévoyées par la haine.Anton-Bélisse, Capulac, Assomption, Le Touc... Managers, cadres, diplômés, redoutablement ambitieux, nous entraînent dans leurs complots, leurs spéculations... Et leurs secrets. Autour d'eux rôde un mystérieux héros de la guerre civile espagnole qui bouleverse les règles du jeu.À chaque page, on ressent que l'auteur de La rhubarbe (prix Médicis 1965), de L'imprécateur (prix Femina 1974), de La Pompéi, de La médiatrice, a monté et écrit ce «crime parfait» avec jubilation.
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