L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Ma meilleure amie, Vickie Gendreau, était écrivaine. Elle est morte d'une tumeur au cerveau, à l'âge de vingt-quatre ans, après m'avoir légué ses archives. Deux ans après sa mort, quelque chose a commencé à apparaître dans mes rêves. J'ai eu l'impression que cette chose m'appelait, qu'elle voulait que j'aille la chercher au royaume des morts pour la ramener dans la littérature, où elle se sentait chez elle.
Mais je me suis aperçu que cette chose que j'ai cru entendre n'était pas tout à fait Vickie. Je l'ai appelée la morte. Ce livre est le récit spéculatif d'une expérience personnelle. Il explore le phénomène des fantômes depuis une perspective éthique, loin de la psychologie du deuil, et loin des traditions occultes, ésotériques et religieuses, dans lesquelles les fantômes sont maintenus de force. Il affirme la nécessité de trouver comment se mettre à l'écoute des morts qui parlent au plus profond de soi.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique