"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Daisy Goodwill est née en 1905. Sa mère est morte en la mettant au monde. Plus tard elle parcourt les États-Unis avec son père, un tailleur de pierre qui édifie une petite fortune au temps où naissent les gratte-ciel des villes américaines. Deux fois mariée et veuve, mère de trois enfants, un moment journaliste, elle meurt dans une maison de retraite au début des années 90.
Telle est l'existence ordinaire que nous content ces mémoires de Daisy Goodwill. Le défi du roman est de la rendre aussi passionnante que les sagas les plus riches en péripéties, de nous montrer que n'importe quelle existence, pour peu qu'on sache la regarder, recèle des trésors et reflète son siècle. Et quel siècle !
Oeuvre d'une romancière canadienne saluée par la critique internationale comme l'égale d'une Alison Lurie ou d'une Joyce Carol Oates, La Mémoire des pierres a été couronné outre-Atlantique par le prix Pulitzer. En France, le magazine Lire l'a élu meilleur livre de l'année 1995.
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