"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Séparée de son mari et de leur fille, Anna vit recluse dans sa maison de Harlem, abreuvée de merlot, de bétabloquants et de vieux polars en noir et blanc. Quand elle ne joue pas aux échecs sur internet, elle espionne ses voisins. Surtout la famille Russel - un père, une mère et un adorable ado -, qui vient d'emménager en face. Un soir, Anna est témoin d'un crime. Mais comment convaincre la police quand on doute soi-même de sa raison ?
Anna vit recluse chez elle suite à une séparation avec son mari qui serait parti avec son enfant, un soir elle sympathise par accident avec sa nouvelle voisine puis elle la voit se faire assassiner. Délire ou pas ?
Je me suis ennuyée le trois quart du livre, Anna boit des verres de merlot, regarde un film en noir et blanc, prend un comprimé, espionne ses voisins avec son appareil photo, aide des gens sur Internet, parle avec son mari et son enfant.
Et ? Bah, elle prend, un comprime, regarde un film en noir et blanc, boit des verres de merlot, espionne ses voisins, aide des gens sur Internet, parle avec son mari et son enfant bon peu importe l'ordre elle fait que cela pendant tous le livre ... Interaction avec quelques personnes qui prennent soin d'elle et son colocataire ouah la même pas besoin de comprime pour m'endormir avec ce livre, de merlot ? Peut être pour trouver le bouquin plus intéressant. Voir espionner mes voisins avec mon appareil photo (oui oui, j'en ai, je rassure c'est pour les vacances pas pour les voisins de toute façon ma fenetre à vu sur un parking) aurait été plus palpitant !
L'histoire avec son mari était très largement prévisible, le locataire, je me demandais ce qu'il faisait là ne servant pas à grand chose par rapport à l'histoire si ce n'est remplir des lignes ... Il faudra attendre la fin pages 560 le lundi 15 novembre pour que cela s'accélère ... Est-ce que la fin m'a surprise ? Oui et non ... Non, car j'avais déjà soupçonné la personne, oui, car je n'en avais pas imaginé les causes. Le plus de ce livre qui prête à sourire, c'est qu'elle ne veut pas sortir, mais qu'est ce que les autres personnages passent leur temps à rentrer chez elle !
Ce livre se lit d'une traite tant l'intrigue est prenante. A chaque chapitre son rebondissement et il est impossible de le poser. Toujours envie de lire un chapitre de plus.... jusqu’à la fin très surprenante. J'ai adoré ce livre
Anna est agoraphobe suite à un choc post-traumatique dont on devine rapidement l'origine.
Cloitrée chez elle, elle observe ses voisins et croit voir un meurtre chez l'un deux. Mais bourrée d'anxiolytiques, d'antidépresseurs et d'alcool, a t'elle été en proie à des hallucinations ?
Voici la trame de ce roman qui mêle psychologie, tension et suspense.
C'est un page-turner avec un style simple et qui se lit très rapidement malgré quelques passages un peu longuets.
Un polar vraiment très correct quand on sait que c'est le premier roman de l'auteur.
Roman un peu long. Anna Fox souffre d'agoraphobie, vit dans un groupe de.maison et inspecte ses voisins par la fenêtre
La première partie on ne sait pas trop où l'histoire nous mène.
Puis l'intrigue prend forme et nous tiend un peu.
Je l'ai lu mais me suis ennuyée.
Pas très inspirée par le thème du thriller domestique, j’ai profité de la présence de ce titre dans la liste des titres disponibles des livres audio de ma bibliothèque. Je ne sais pas si c’est le genre qui ne me convient pas où si le soucis est ce titre mais une chose est sûre ce n’était clairement pas pour moi. La quatrième de couverture annonçait une histoire autour d’une témoin pas prise au sérieux et d’autant moins qu’il n’y a pas de trace du meurtre en question. Je m’attendais donc à suivre une quête envers et contre tous ou au moins une histoire qui commence avec ce fameux meurtre. Sauf que ce n’est pas tout à fait ça, l’auteur doit penser que son lecteur est un peu bouché car il a besoin d’insister encore et encore sur le moindre détail qui illustre le fait qu’Anna n’est pas crédible. Pour ce faire on va insister pendant un bon tiers sur le quotidien de cette narratrice qui est une femme seule, agoraphobe, alcoolique et voyeuse. La façon dont c’est traité est vraiment sans intérêt, ça n’apporte rien. Si au moins ça permettait une bonne approche psychologique d’Anna, ou si c’était un moyen de s’attacher à elle mais non c’est une succession de clichés de tout ce que serait une personne à la dérive dans la tête de la majorité. Beuveries, ode au merlot, voyeurisme malaisant, descriptions de vieux films policier, forum psy… chaque élément rappelle encore et encore qu’elle n’est pas crédible. Niveau écriture, il n’y a rien de marquant, c’est banal en général et irritant pour les retranscriptions d’échange sur le fameux forum.
Les autres personnages ne sont pas en reste niveau manichéisme et le dénouement fait plouf. Il pourrait être crédible dans les vieux films tant chéris et encore même eux ont des coupables plus nuancés.
Je suis complètement passée à côté, le rythme est mal dosé, l’intrigue bancale, les personnages très clichés. Le seul point positif pour moi est la lecture de Gaëlle Savary qui tient le lecteur dans l’histoire envers est contre tout.
Impossible de ne pas penser au film "Fenêtre sur cour". Quand on est une femme agoraphobe, dépressive, "picoleuse", fan de vieux polars ET témoin d'un meurtre, difficile de convaincre la police... Un scénario très bien ficelé qui fait apparaître au fil du récit des éléments inattendus. Très efficace !
CHRONIQUE : https://leschroniquesdenounett.blogspot.com/2020/04/chronique-litteraire-la-femme-la.html
Il s’agit d’un huis clos dans lequel Anna Fox, psychiatre de profession, évolue seule. Cette mère de famille, séparée de son mari et sa fille, vit depuis plusieurs mois recluse chez elle en épiant la vie de ses voisins à coup de médocs et d’alcool. Jusqu’au jour où tout bascule : derrière sa fenêtre, elle assiste à l’impensable.
Ce thriller psychologique qui vous fera vivre plusieurs jours dans la tête d’Anna. On est spectateur de sa vie, ses tourments, ses problèmes psychologiques et on arrive même à douter d’elle. Car oui, avec près de 600 pages, l'autrice de la Fille du train, malmène son personnage, la laissant face contre tous et même nous-mêmes. On ne sait plus à qui se fier car il y a pas mal d’éléments troublants, on se pose des questions, on a envie de croire Anna mais comment ? Au fil des jours et des révélations, l'étau autour d’Anna se resserre.
Le début est un peu lent, on se laisse porter par le quotidien d’Anna, dépendante des médicaments et de l’alcool. On a la fois de la peine pour elle et en même temps, on se demande si elle fait vraiment un effort pour s’en sortir.
Anna est un personnage fragile, on sait qu'elle vit au jour le jour sans apprécier réellement la vie. D’ailleurs, son passe-temps favori est de regarder les autres vivre leur propre vie.
Dès qu’elle assiste à la scène chez ses voisins, elle ne vit que pour ça. Le livre se passe sur environ deux semaines mais on a l’impression que ça dure beaucoup plus longtemps.
L’auteur a mis en place une atmosphère particulière, à la fois glaçante, angoissante et surréaliste, elle s’attarde peut-être un peu (trop ?) sur les états d'âme d’Anna. C’est ce qui rend la lecture assez longue, le livre en lui-même est trop long à mon goût.
Et pourtant, j’ai beaucoup aimé ma lecture, dans le fond, après j’avoue que j’ai peut-être laissé un peu trop traîner ce livre…
En bref, ce fut une lecture très intéressante et intrigante, je me suis beaucoup attachée au personnage d’Anna parce que j’avais envie de l’aider, et c’est vrai que la fin on ne peut clairement pas la deviner, et je pense que c’est ce que j’ai beaucoup aimé dans ce livre.
Très belle intrigue, lecture fluide on ne s’ennuie jamais. Une femme touchée par le stress post traumatique, agoraphobe nous mène dans un quasi huit clos ...Belle découverte d’un auteur
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