"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Tuer. Une fois, deux fois, tuer infiniment. Juste pour le plaisir. Aux heures sombres de l'Occupation, un inconnu sème la mort à travers l'Europe. Sanguinaire, rusé et implacable, il semble être le Mal incarné. À cette époque où prolifèrent les monstres ordinaires, où la dévouée Germaine envoie ses patrons au Vél'd'Hiv, où le brasseur Maurice revend des biens spoliés, qui est le plus coupable ?
Ce roman est très confus. Beaucoup de personnages interviennent dès le début du livre, à différentes dates et différents lieux, sans qu'on ait beaucoup de repères pour savoir qui est qui. Je n'ai rien contre cette structure de roman, sachant que toutes ces histoires doivent se rejoindre à un moment, mais ici, page 200, on n'en sait toujours guère plus qu'au départ et ça devient long et lassant. Ajoutez à cela une certaine platitude de l'écriture et vous comprendrez, je l'espère, mon abandon de lecture aux alentours de la page 220, sur un livre qui en compte environ 500. Le même roman, en plus condensé, m'eut agréé davantage.
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