"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
«De 1985 à 1992, j'ai transcrit des scènes, des paroles, saisies dans le R.E.R., les hypermarchés, le centre commercial de la Ville Nouvelle, où je vis. Il me semble que je voulais ainsi retenir quelque chose de l'époque et des gens qu'on croise juste une fois, dont l'existence nous traverse en déclenchant du trouble, de la colère ou de la douleur.» Annie Ernaux.
« Comment, surtout, dire à ma grand mère que sa mère a survécu si longtemps après l’avoir laissé à l’orphelinat ? »alors qu’elle se prétendait morte de chagrin à la suite de la mort de son mari -Armand, que faire de cette nouvelle ?
3eme roman de Stéphanie Dupays, celui ci est autobiographique, c’est un roman sur les secrets familiaux mème si quelques fois on ne sait pas trop quoi en faire, mais on sait …
En le lisant j’ai appris des choses sur les hospitalisations en psychiatrie au début du XXeme siècle.
L’écriture est simple, c’est une lecture intéressante et ce titre est sublime ♥️
De 1985 à 1992, Annie Ernaux a transcrit, des scènes, des fragments de dialogues d’étrangers croisés dans la rue, dans les transports en commun à Paris et en banlieue. Des gens sur lesquels on s’arrête peu habituellement. Des gens du quotidien.
Ce journal extime permet de se rendre compte de la part de nous en chaque inconnu, d’apprécier la différence de plus en plus écartée.
Malgré tout, comme pour ma première expérience avec cette auteure, le style très fort et maîtrisé m’a gêné.
J’ai apprécié l’intention et le propos mais n’ai à nouveau et à regret pas été capable d’apprécier ma lecture.
Peut être la relirai je dans quelques années.
www.metoile.wordpress.com
Inconditionnelle d'Annie ERNAUX, je n'ai quand même pas réussi à me régaler de ce livre. Je n'ai pas aimé cet angle un peu "bourgeois". J'aurais voulu mais je n'ai pas du tout réussi à adhérer, j'ai terminé la lecture mais avec déplaisir. Je suis surement passée à côté de l'exercice.
"Dans Libération, Jacques Le Goff, historien: "Le métro me dépayse." Les gens qui le prennent tous les jours seraient-ils dépaysés en se rendant au Collège de France? On n'a pas l'occasion de le savoir."
Annie Ernaux nous dévoile des fragments de son quotidien qui font étrangement écho aux nôtres et les analyse avec sensibilité et humour. Touchant...comme son auteur!
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