"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au coeur de Trondheim, dans les années 1960, l'ère est à l'harmonie et au progrès. En apparence, du moins. Car de l'autre côté des murs, où la modernité fait rage à coup d'électroménagers, ça scrute ses voisins et ça cancane à grand bruit. Lorsqu'un beau jour, un commercial propose d'installer des judas aux portes, menaçant de faire craqueler le vernis...
J'ai vraiment beaucoup aimé la lecture de ce livre. Le style est très agréable.
Les personnages sont décrits avec beaucoup de subtilité. La situation est très réaliste.
J'ai vraiment ressenti l'ambiance des années 60 !
Voici un auteur que j’aime beaucoup mais je dois reconnaître un peu de déception pour ce roman, sans doute suis-je trop dans l’attente, enfin c’est de toute façon un bon livre mais pour moi un peu moins que « la ferme de Neshov ». L’histoire se passe dans les années 60 en Norvège, c’est l’arrivée de la société de consommation, chaque foyer désire le dernier aspirateur, le congélateur dernier cri…Nous nous promenons dans un immeuble de trois étages où nous faisons connaissance des familles de chaque palier. Les femmes ne travaillent pas à l’extérieur, il y a la dingue du ménage, la bimbo esseulée, la mère de famille nombreuse et les hommes dans leur pleine « virilité » que l’on attend, que l’on sert, que l’on craint et l’exception le père veuf qui néglige son enfant, qui passe des heures dans l’escalier que son père rentre du travail et ouvre enfin la porte de l’appartement pour dîner d’un repas frugal. Et un jour un jeune homme frappe à chaque porte pour proposer des judas, alors si la voisine en a acheté un, moi aussi et puis c’est tellement facile de mettre son œil et de voir sans être vu. Trop de clichés à mon goût, toutes ces femmes qui ne vivent qu’à travers le ménage, les repas, les enfants et le mari. Alors si vous ne connaissez pas cette romancière, ne commencez pas par ce livre, elle a écrit tant de meilleurs romans.
Sur la première page, un dessin représentant huit sonnettes avec des noms.
Ces noms correspondant aux habitants d’un petit immeuble de trois étages.
Depuis le rez-de-chaussée jusqu’au troisième, chaque chapitre nous livre le quotidien de ces huit familles.
C’est très réaliste et visuel.
Une parfaite description de la vie dans les années soixante : le début du progrès des appareils ménagers, la place de la femme à cette époque….
Un livre très intéressant et bien écrit.
Juste le titre, qui ne correspond pas au roman malgré la dernière phrase qui l’explique.
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