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Le 6 août 1945, à 8 h 15 du matin, une gigantesque boule de feu est apparue 500 mètres au-dessus de la ville japonaise d'Hiroshima. Avec le bombardement nucléaire déclenché par les États-Unis, « le feu du plus atroce génie humain s'abattait sur une population d'enfants, de femmes, de vieillards et d'hommes innocents », selon les mots de l'écrivain Bernard Clavel.
Keiji Nakazawa habitait avec sa famille à un peu plus d'un kilomètre du centre-ville, dans un quartier où les maisons coexistaient encore avec les champs et les potagers. Keiji avait 6 ans. Il a échappé à la mort. Soixante-quinze ans après la tragédie, son témoignage, dans sa nudité même, est glaçant de vérité. L'auteur nous fait littéralement voir, à travers ses yeux d'enfant puis sa mémoire d'adulte, l'horreur qu'a vécue la population de cette ville martyre.
L'apocalypse nucléaire à Hiroshima a tué, selon les sources, entre 140 000 et 200 000 personnes, le 6 août 1945 et dans les années qui suivirent.
Cette édition comprend un texte de Bernard Clavel, « La Peur et la Honte ».
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