"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Voici l'extraordianire destin d'Iris Clert, disparue en 1986, galeriste qui révéla des artistes tels que Klein, Tinguely, Arman ou Chaissac. Muse du Saint-Germain-des-Prés des années 1960, Iris Clert a transformé chacune de ses trois cents expositions en événement : «Micro-Salon» en 1957, avec cent treize artistes exposés dans sa galerie de quinze mètres carrés ; exposition du «Vide» d'Yves Klein, l'année suivante, dans une galerie nue ; exposition du «Plein» d'Arman, en 1960, avec plusieurs tonnes de déchets accumulés dans la galerie ; organisation d'une biennale à Venise, dans un palais baroque loué à crédit ; éclairage de l'Obélisque de la Concorde en bleu Klein ou encore achat d'un poids lourd en plexiglas, transformé en galerie ambulante... En trente ans d'activité, Iris Clert a révolutionné le monde de l'art. Elle retrace ici son parcours, avec humour et légèreté, et nous fait vivre, au fil de ses souvenirs, les glorieuses coulisses et les petits secrets des arts et des artistes.
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