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En 1948, Georges de Caunes, journaliste, envoyé spécial de la radiodiffusion, accompagne la première mission Paul-Emile Victor au Groenland.
Au sortir de la guerre, il brûle d'impatience de tout vivre, de tout découvrir. Aux côtés de ses compagnons, Samivel, Michel Pérez, Jean Malaurie et autres scientifiques ou aventuriers, il découvre un pays " plus secret que le Tibet ".
Retour à Paris, début d'une autre aventure: la télévision où il devient présentateur du premier journal télévisé, tandis que dans l'île Saint-Louis il partage une joyeuse bohème avec les grandes signatures de la presse parisienne.
Mais l'appel du Grand Nord est le plus fort. Il abandonne tout en 1949 et surtout en 1951 pour Victor: la traversée d'est en ouest du Groenland par 70° de latitude nord.
" Parce que, si partir, c'est mourir un peu, il y a une façon de mourir tout à fait qui est de rester chez soi en attendant la mort. " Imarra, " peut-être " en esquimau, est un magnifique récit, profondément humain, témoignage de première main sur des expéditions devenues historiques.
L'aventure s'y double d'un voyage intérieur, empreint de discrétion et de modestie, qui donne à découvrir l'itinéraire intime d'un être secret, sensible et cultivé.
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